Les confessions érotiques d’un homme qui nous raconte pourquoi il a été féminisé quand il était encore qu'un gamin. Histoire sans sexe ni pornographie.

Même si c'était il y a plus de 50 ans, je me souviens encore de ma première fois en détail dans les jupons.

C'était l'été, j'avais 7 ans, mon frère avait 9 ans et notre soeur avait 11 ans, notre père venait de donner à mon frère et à moi de nouvelles bicyclettes pour avoir eu de bonnes notes à l'école toute l'année, comme il l'avait promis. Au déjeuner, mon frère et moi avons commencé à nous quereller pour savoir quelle moto était la plus rapide et il a été suggéré de lancer une course pour décider de qui appartenait.

Quand notre sœur a dit que le gagnant pourrait porter ses vêtements pour le reste de la journée, maman a ri et a dit que ce n'était pas un prix que l'un de nous voudrait et a dit que cela ressemblait davantage à une pénalité. Cela a donc été changé pour que le perdant soit obligé de porter ses vêtements pour le reste de la journée.

Mon frère, persuadé qu'il gagnerait, a accepté. Maman m'a dit de ne pas le faire, car je perdrais, mais je sentais que je devais pas être d'accord, car sinon, ce serait comme dire que je savais que son vélo était plus rapide.

Quand j'ai vu que je perdais la course, j'ai mis toute mon énergie dans la victoire, mais mon frère était clairement le vainqueur. Ma sœur et moi nous entendions très bien, mais aucun de nous n'aimait beaucoup notre frère - il avait une mauvaise moyenne et était souvent très méchant. J'étais allongé sur l'herbe en train d'essayer de reprendre mon souffle lorsque ma sœur s'est approchée et m'a dit qu'elle était heureuse d'avoir perdu parce qu'elle n'aurait pas voulu que notre frère porte ses vêtements. Puis elle m'a dit qu'elle me trouverait quelque chose de vraiment agréable à porter, comme si elle me faisait une sorte de faveur.

Notre mère avait emballé tous ses vêtements les plus beaux qu'elle avait gardés et rangés dans le grenier. Quand ma sœur m'a dit de prendre un bain pendant qu'elle allait au grenier et a trouvé quelque chose à porter, je suis allée voir ma mère et je lui ai dit qu'elle voulait que je prenne un bain et que cela ne faisait pas partie du pari. Elle m'a dit qu'elle comprenait et ne voulait pas que je porte ses vêtements en sueur et puante, que je devais le faire et que peut-être que tout cela m'apprendrait à ne pas faire de paris stupides que je ne pourrais pas gagner.

Quand j'ai fini de prendre un bain, je suis allé dans sa chambre, elle avait des chaussures, des chaussettes, une culotte bleue, un jupon à la taille et une robe bleue pour moi. J'étais vraiment surpris, je pensais que ce serait un short et une blouse ou au pire une jupe. Elle m'a dit de mettre le jupon, puis m'a tendu la culotte bleue et m'a dit d'enlever mes sous-vêtements et de les mettre. Quand la robe fut enfilée, elle s'aperçut qu'elle était un peu trop petite - elle dit qu'elle serait de retour et se rendit au grenier pour me faire porter autre chose.

En rentrant avec un sac à vêtements, elle me dit que c’était une de ses plus jolies robes; puis elle l'ouvrit et sortit le jupon rose très pâle d'une fille, une robe en taffetas de nylon rose foncé qui portait deux couches d'organdi sur la jupe et les manches bouffantes, une culotte rose pâle avec des volants rose vif, une paire de bretelles simples roses et chaussettes rose pâle avec des volants rose vif. Quand elle me tendit la culotte à volants, elle me dit d’enlever les bleues et de les enfiler. J'avais le vertige et je pensais que j'allais perdre connaissance.

Dès que j'ai mis le jupon rose par-dessus le blanc et la robe par-dessus celle qu'elle a boutonnée, elle m'a dit que ça me allait bien et m'a dit de m'asseoir sur le lit pour qu'elle puisse mettre ses chaussures et ses chaussettes. Je me souviens encore du son quand je me suis assis sur le lit, ça sonnait tellement fort,

Je cherchais ma mère pour me plaindre de la façon dont elle m'avait vêtue - tout me semblait si étrange, rien de ce que j'ai porté ne ressemble à ce que je porte (mes baskets et mes vêtements ne font pas de bruit) et j'étais sûr que le et le tapotement des chaussures serait entendu bien avant que je la trouve. Ma mère n'était pas du tout sympathique, elle vient de me dire que je suis très jolie et que je devrais remercier ma sœur de m'avoir donné certains de ses plus beaux vêtements.

Quand mon frère m'a vu il a commencé à me taquiner, je lui ai dit que ce n'était pas si mal d'essayer de minimiser ça. Il a dit que si j'aimais porter des vêtements de filles, j'étais une poule mouillée, je lui ai dit que ça ne disait pas que j'aimais ça, mais j'étais sûr qu'il le ferait. Notre sœur lui a dit qu'il n'était pas obligé d'être jaloux, elle avait beaucoup de jolis vêtements qu'il pouvait porter et il s'est mis en colère, insulté.

Quand mon père est rentré à la maison, il m'a vu dans les vêtements de ma sœur et a découvert ce qui s'était passé. J'ai eu une longue discussion sur la façon dont je ne devrais pas faire de paris stupides parce que je risquais de perdre. Quand il a eu fini, je lui ai dit que porter des vêtements de filles n'était pas si mal et il a secoué la tête et s'est éloigné.

Au milieu du souper, mon père a cessé de manger, m'a regardé et m'a dit que je devais porter les vêtements de ma sœur pendant une semaine et lui dire que ce n'était pas si grave. Puis j'ai su que je m'étais mis dans un vrai pétrin.

Il n'était pas inhabituel que notre père nous emmène tous pour une glace les beaux vendredi soirs de l'été. Après le souper, il a dit que nous allions manger de la glace, je ne voulais pas y aller mais je n'avais pas le choix. Je savais que, étant habillée en fille le dimanche de Pâques, tout le monde me regarderait et, avec ma coupe de cheveux, tout le monde saurait que j'étais un garçon.

Je me souviens encore de la femme qui souriait en me tendant mon cornet de glace en disant: "Ta robe est très jolie, tu es très bien habillée ... pour un garçon! Le pire, c’était que mon père ne permettait pas de manger dans la voiture et moi avons dû rester debout à manger de la glace avec des gens qui allaient et venaient et restaient dans les parages jusqu'à ce que tout le monde ait fini de manger leur glace.

Le dimanche matin, mon père dormait pendant que nous allions à l'église. Dès que je me suis levé, ma soeur m'a habillé dans certains de ses vêtements du dimanche. J'ai prié ma mère de me laisser porter mes propres vêtements à l'église mais elle a dit non, mon père serait probablement levé à notre retour, mais elle a obtenu un foulard en soie qu'elle m'a attaché sous le menton pour couvrir la coupe de cheveux de mon garçon. Il y avait suffisamment de filles toutes habillées pour que je ne pense même pas avoir été remarqué.

Quelques jours plus tard, notre mère est allée faire l'épicerie et nous avons tous dû partir pour aider à porter les sacs d'épicerie à la maison. J'avais tellement peur qu'un de mes amis me voit. Si j'avais été face à face avec l'un d'eux, je me serais probablement vendu moi-même.

Ma soeur m'a toujours vêtu de deux jupons, une taille complète et une longueur de fille par-dessus. Au début, le devant des jupons rebondissait beaucoup. Elle m'a demandé de faire des pas plus courts, de ne pas trop plier mes genoux et de balancer toute ma jambe en avant, même si je ne m'en étais pas rendu compte à l'époque, elle m'apprenait à marcher comme une fille.

Vers la fin de la semaine, je commençais à être habituée à ce que ma sœur m'habille et me promène habillée dans la maison. Au lieu de me sentir étrange, je pense que j'ai commencé à aimer ce qu'ils ressentaient.

Quand mon père m'a demandé si je pensais toujours que porter des vêtements de filles n'était pas si mal ou s'il me fallait encore une semaine pour y penser, j'ai supplié de porter à nouveau mes propres vêtements. Ce n'était pas parce que je n'aimais pas porter les vêtements des filles mais parce que je n'étais pas sortie jouer depuis une semaine.

Les vêtements sont retournés au grenier pendant un moment, mais ensuite ma sœur a commencé à me persuader de la laisser m'habiller quand elle et moi étions seuls à la maison. Au début, ce n'était pas mal, ça la rendait heureuse, elle était toujours très gentille avec moi et ça semblait amusant. Un jour, après avoir failli se faire prendre plusieurs fois, notre mère était en train de faire la lessive et elle voulait m'habiller. Quand j'ai refusé, elle a dit qu'elle dirait à notre père que j'aimais porter ses vêtements et qu'il me ferait probablement les porter pendant un mois, puis qu'elle pourrait à nouveau m'habiller tous les jours. Cela a tout changé - lorsque j’ai eu l’impression de ne pas avoir le choix, j’ai pris tout mon plaisir. Il a progressivement diminué, mais il a fallu presque deux ans avant que cela cesse.

Plusieurs fois, je suis allée au grenier et je me suis habillée en tenue secrète, mais je me suis sentie coupable et je me suis arrêtée.